L'accord de libre échange (ALENA) a renforcé, au Mexique, le phénomène des maquiladoras, c'est-à-dire de la sous-traitance. Les femme constituent la principale force de travail et leur exploitation est considérable: salaires inférieurs, conditions de travail très mauvaises, harcèlement sexuel. Les syndicats traditionnels ne se sont pas montré à la hauteur, ce qui amena les femmes travailleuses à s'organiser elles-mêmes.